https://www.youtube.com
1975 François Béranger
1975.
François Béranger se produit (en compagnie de ses musiciens: Jean-Pierre Alarcen (guitare), Claude Arini (piano), Jean-Lou Bossenne (batterie), Gérard Cohen (basse) et Patrick Clerc (sono)) à Charleroi, le 27 et 28 septembre, lors de la fête du journal "La Cité" et du Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC).
Chanteur proche des gens et des luttes humaines, sans pour autant faire des chansons engagées, il exprime des émotions. Pour lui la chanson n'est pas un fusil, ni un tract.
Historiquement, la chanson était un objet d'expression populaire, elle est devenue progressivement un produit. Pour se démarquer de la main mise du commerce de la chanson, les intellectuels ont composé des chansons à textes, lui, exprime plutôt les angoisses urbaines avec des instruments électriques, émanation d'une société industrialisée et urbaine.
Interview entrecoupée de chansons: "La fête du temps", "Anastasie", "Le monde bouge", "Tranche de vie", "Magouille blues" et " Manifeste".
Pour visionner la vidéo cliquez ici --->https://youtu.be/YrtfwXz1zhQ
1975.
François Béranger se produit (en compagnie de ses musiciens: Jean-Pierre Alarcen (guitare), Claude Arini (piano), Jean-Lou Bossenne (batterie), Gérard Cohen (basse) et Patrick Clerc (sono)) à Charleroi, le 27 et 28 septembre, lors de la fête du journal "La Cité" et du Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC).
Chanteur proche des gens et des luttes humaines, sans pour autant faire des chansons engagées, il exprime des émotions. Pour lui la chanson n'est pas un fusil, ni un tract.
Historiquement, la chanson était un objet d'expression populaire, elle est devenue progressivement un produit. Pour se démarquer de la main mise du commerce de la chanson, les intellectuels ont composé des chansons à textes, lui, exprime plutôt les angoisses urbaines avec des instruments électriques, émanation d'une société industrialisée et urbaine.
Interview entrecoupée de chansons: "La fête du temps", "Anastasie", "Le monde bouge", "Tranche de vie", "Magouille blues" et " Manifeste".
François Béranger se produit (en compagnie de ses musiciens: Jean-Pierre Alarcen (guitare), Claude Arini (piano), Jean-Lou Bossenne (batterie), Gérard Cohen (basse) et Patrick Clerc (sono)) à Charleroi, le 27 et 28 septembre, lors de la fête du journal "La Cité" et du Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC).
Chanteur proche des gens et des luttes humaines, sans pour autant faire des chansons engagées, il exprime des émotions. Pour lui la chanson n'est pas un fusil, ni un tract.
Historiquement, la chanson était un objet d'expression populaire, elle est devenue progressivement un produit. Pour se démarquer de la main mise du commerce de la chanson, les intellectuels ont composé des chansons à textes, lui, exprime plutôt les angoisses urbaines avec des instruments électriques, émanation d'une société industrialisée et urbaine.
Interview entrecoupée de chansons: "La fête du temps", "Anastasie", "Le monde bouge", "Tranche de vie", "Magouille blues" et " Manifeste".
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Hommage à François Béranger pour les dix ans de sa mort.
Réunion le dimanche 13 octobre 2013 devant le cimetière de Castelnau le Lez près de Montpellier. François Gersant (chant et guitare ) et Philippe Crespy (accordéon) ont interprété quelques chansons de Fançois Béranger, la dernière (Manifeste) a été reprise en chœur par l'assistance jusqu'à la tombe du chanteur.
Ce fut l'acte de naissance de l'association "Et dis donc Béranger".
ehdisdoncberanger@gmail.com
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