« Je me fous de la fin du monde »
Parmi mes milliards de bêtises
C’est toi, de loin, que je préfère
Je t’aime, je persiste, je signe
Et le temps ne peut rien y faire
Tu ne demandes rien, tu passes
Légère et simple comme bonjour
Tu m’arc-en-ciel tout l’espace
D’un mètre soixante d’amour
{Refrain, x2}
Je me fous de la fin du monde
Mais j’aimerais pas la fin de toi
Les autres, c’était des martiennes
Quand elles débarquaient sur mon cœur
Qu’elles mettaient leur main dans la mienne
J’avais besoin d’un traducteur
Toi, tu es tout rire, tout soleil
Tu n’as que des chagrins d’oiseau
Tu rêves sitôt ton réveil
Tu dis que tu me trouves beau
{au Refrain, x2}
Où tu m’entraînes? Où tu m’emmènes?
Jusqu’où va-t-on aller trop loin?
Tu m’as débaptisé la Seine
Le fleuve Amour te va si bien
Je mets du ciel plein nos valises
Sans dire que j’ai peur quelquefois
Que tous nos chemins de Venise
Nous conduisent à Hiroshima
{au Refrain, x4}
C’est toi, de loin, que je préfère
Je t’aime, je persiste, je signe
Et le temps ne peut rien y faire
Tu ne demandes rien, tu passes
Légère et simple comme bonjour
Tu m’arc-en-ciel tout l’espace
D’un mètre soixante d’amour
{Refrain, x2}
Je me fous de la fin du monde
Mais j’aimerais pas la fin de toi
Les autres, c’était des martiennes
Quand elles débarquaient sur mon cœur
Qu’elles mettaient leur main dans la mienne
J’avais besoin d’un traducteur
Toi, tu es tout rire, tout soleil
Tu n’as que des chagrins d’oiseau
Tu rêves sitôt ton réveil
Tu dis que tu me trouves beau
{au Refrain, x2}
Où tu m’entraînes? Où tu m’emmènes?
Jusqu’où va-t-on aller trop loin?
Tu m’as débaptisé la Seine
Le fleuve Amour te va si bien
Je mets du ciel plein nos valises
Sans dire que j’ai peur quelquefois
Que tous nos chemins de Venise
Nous conduisent à Hiroshima
{au Refrain, x4}
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