Mouloudji - À trop cueillir les roses (1963)
A trop cueillir les roses, lilas et romarins
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
Mais
S’il en reste une chanson
Légère et sans façon
Et que le vent l’emporte
Elle f’ra au cœur la petite émotion
De notre enfance morte
Elle dira aux gens
La fraîcheur des enfants
Et ce je ne sais quoi
Que l’amour nous apporte
Et qui de fleur en fleur
Font que la vie s’accroche
A trop cueillir les roses, lilas et romarins
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
Mais
S’il en reste une chanson
Mes baisers voleront
Et dans l’âme des fleurs
Déposeront mon cœur
Et ses amours de poches
Qu’au hasard j’effiloche
Et mille billets doux
Par mille papillons
Sur la terre écriront
Cette chanson d’amour
Que les fleurs chanteront
A la belle saison
A trop cueillir les roses, lilas et romarins
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
Mais
S’il en reste une chanson
Légère et sans façon
Et que le vent l’emporte
Elle f’ra au cœur la petite émotion
De notre enfance morte
Elle dira aux gens
La fraîcheur des enfants
Et ce je ne sais quoi
Que l’amour nous apporte
Et qui de fleur en fleur
Font que la vie s’accroche
A trop cueillir les roses, lilas et romarins
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
Mais
S’il en reste une chanson
Mes baisers voleront
Et dans l’âme des fleurs
Déposeront mon cœur
Et ses amours de poches
Qu’au hasard j’effiloche
Et mille billets doux
Par mille papillons
Sur la terre écriront
Cette chanson d’amour
Que les fleurs chanteront
A la belle saison
A trop cueillir les roses, lilas et romarins
A trop aimer qui ose
Il y perd son latin
Les amours buissonnières ont des chemins sans fin
Où la rose se meurt, où le soleil s’éteint
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