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1966, Hugues Aufray "Santiano"
Santiano
C'est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau,
Hisse et ho, Santiano
Dix-huits noeuds, quatre cents tonneaux,
Je suis fier d'y être matelot.
R
Tiens bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Sant
iano
Si Dieu veut, toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.
2
Je pars pour de longs mois en laissant Margot
Hisse et ho, Santiano
D'y penser, j'avais le coeur gros
En doublant les feux de Saint Malo.
3
On prétend que là-bas, l'argent
coule à flots
Hisse et ho, Santiano
On trouve l'or au fond des ruisseaux,
J'en rapporterai plusieurs lingots.
4
Un jour je reviendrai, chargé de cadeaux
Hisse et ho, Santiano
Au pays, j'irai voir Margot,
À son doigt, je passerai l'anneau.
R'
Tiens
bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Santiano
Sur la mer qui fait le gros dos
Nous irons jusqu'à San Francisco.
Hisse et ho, Santiano
Dix-huits noeuds, quatre cents tonneaux,
Je suis fier d'y être matelot.
R
Tiens bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Sant
iano
Si Dieu veut, toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.
2
Je pars pour de longs mois en laissant Margot
Hisse et ho, Santiano
D'y penser, j'avais le coeur gros
En doublant les feux de Saint Malo.
3
On prétend que là-bas, l'argent
coule à flots
Hisse et ho, Santiano
On trouve l'or au fond des ruisseaux,
J'en rapporterai plusieurs lingots.
4
Un jour je reviendrai, chargé de cadeaux
Hisse et ho, Santiano
Au pays, j'irai voir Margot,
À son doigt, je passerai l'anneau.
R'
Tiens
bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Santiano
Sur la mer qui fait le gros dos
Nous irons jusqu'à San Francisco.
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