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Francesca Solleville - Lorsque nous serons vieux
Ajoutée le 25 mars 2014
45 T de 1968
Lorsque nous serons vieux
Lorsque nous serons vieux, au terme du voyage
Nos yeux regarderont encore le paysage
Et nous serons bien plus qu'avant émerveillés
Nous aurons de nouveau nos grands yeux d'écoliers
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que je retrouve enfin un peu de ma jeunesse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque nous serons vieux, nous pardonnerons tout
L'apathie des moutons et la hargne des loups
Et nous nous moquerons de ces chagrins d'amour
Qui nous venaient, jadis, tous les sept ou huit jours
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que des drames d'antan, je me désintéresse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque nous serons vieux, nous fixerons les pierres
Nous humerons le vent et la pluie et la terre
Nous nous arrêterons pour saluer un arbre
Le vernis d'une feuille ou les veines du marbre
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que je contemple enfin ceux que les autres laissent
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque tu seras vieux, eh bien, je serai vieille
Et nous n'aurons, tous deux, plus de nez ni d'oreilles
Pour entendre leur bruit, ni de dents pour nous mordre
Il sera mort, enfin, le temps de nos désordres
Ah, que vienne le temps de la pause-tendresse
Vienne ce joli temps de la prime vieillesse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
Où ton cœur, contre moi, viendra dodeliner
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Nos yeux regarderont encore le paysage
Et nous serons bien plus qu'avant émerveillés
Nous aurons de nouveau nos grands yeux d'écoliers
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que je retrouve enfin un peu de ma jeunesse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque nous serons vieux, nous pardonnerons tout
L'apathie des moutons et la hargne des loups
Et nous nous moquerons de ces chagrins d'amour
Qui nous venaient, jadis, tous les sept ou huit jours
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que des drames d'antan, je me désintéresse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque nous serons vieux, nous fixerons les pierres
Nous humerons le vent et la pluie et la terre
Nous nous arrêterons pour saluer un arbre
Le vernis d'une feuille ou les veines du marbre
Ah, que vienne le temps de la pause-vieillesse
Que je contemple enfin ceux que les autres laissent
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
Lorsque tu seras vieux, eh bien, je serai vieille
Et nous n'aurons, tous deux, plus de nez ni d'oreilles
Pour entendre leur bruit, ni de dents pour nous mordre
Il sera mort, enfin, le temps de nos désordres
Ah, que vienne le temps de la pause-tendresse
Vienne ce joli temps de la prime vieillesse
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
Où ton cœur, contre moi, viendra dodeliner
Ah, que vienne le temps où je vais verveiner
De tilleuls en tisons, près de la cheminée
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