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Charles Aznavour - Sa jeunesse (version 1989)
Sa jeunesse
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée d'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée d'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Avant que de sourire,
Et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir,
La jeunesse s'enfuit,
Cela semble si court,
Que l'on est tout surpris,
Qu'avant que de comprendre,
On quitte l’existence.
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingt ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Avant que de sourire,
Et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir,
La jeunesse s'enfuit,
Cela semble si court,
Que l'on est tout surpris,
Qu'avant que de comprendre,
On quitte l’existence.
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingt ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
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