1 - 00:00 Alléluia
2 - 03:13 Les petits matins
3 - 05:58 L'amour c'est comme un jour
4 - 09:45 Trousse-chemise
Presque tout en stéréo excepté " les petits matins " tiré du mono et remixé en stéréo...
Alléluia, alléluia
La jeunesse est insolente, turbulente, mais souvenez-vous
Vous les gens devenus sages qu'à notre âge vous étiez comme nous
Tout comme nous pressés de vivre et de suivre
Le chemin de vos joies, alors pourquoi jeter la pierre?
Laissez faire, tout ça se calmera
La jeunesse est insolente, turbulente, mais souvenez-vous
Vous les gens devenus sages qu'à notre âge vous étiez comme nous
Tout comme nous pressés de vivre et de suivre
Le chemin de vos joies, alors pourquoi jeter la pierre?
Laissez faire, tout ça se calmera
Alléluia, alléluia
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Nous avons l'âge où l'on crève pour des rêves, peut-être insensés
L'âge où l'on refait le monde que l'on fonde sur de vagues idées
On se voudrait invulnérable, intraitable, toujours le plus fort
Faisant tout avec frénésie, notre vie devient un corps à corps
L'âge où l'on refait le monde que l'on fonde sur de vagues idées
On se voudrait invulnérable, intraitable, toujours le plus fort
Faisant tout avec frénésie, notre vie devient un corps à corps
Alléluia, alléluia
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Le passé qui règne encore, on l'ignore pour vivre au futur
On se forge des idoles et l'on colle leurs photos sur nos murs
C'est pour se prouver qu'on existe qu'on résiste aux lois établies
Et pour que l'on s'extériorise on se grise de vitesse et de bruit
On se forge des idoles et l'on colle leurs photos sur nos murs
C'est pour se prouver qu'on existe qu'on résiste aux lois établies
Et pour que l'on s'extériorise on se grise de vitesse et de bruit
Alléluia, alléluia
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Et nos passions sont de même, quand on aime tout est bouleversé
Nos sentiments nous dépassent et l'on passe notre temps à rêver
La vie prend une autre tournure, on murmure des mots simples et doux
Car on est au fond romantique, ça explique que l'on soit un peu fou
Nos sentiments nous dépassent et l'on passe notre temps à rêver
La vie prend une autre tournure, on murmure des mots simples et doux
Car on est au fond romantique, ça explique que l'on soit un peu fou
Alléluia, alléluia
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Alléluia
Nos vingt ans n'ont qu'un temps, laissons-les brûler
Alléluia, alléluia
Le ciel donne ce qu'il nous donne pour en profiter
Alléluia
Les petits matins
Pauvre fille éprise, un peu par sottise
Beaucoup par surprise, au fond, dis-toi bien
Que le jour qui crève, la nuit et se lève
Peut briser tes rêves au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Se jouent du destin s'ils comblent les uns
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Rien n'est plus fragile, rien n'est plus stérile
Qu'un bonheur facile qui nous tend la main
Et souvent fillette qu'a perdu la tête
Pleure sa défaite au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Beaucoup par surprise, au fond, dis-toi bien
Que le jour qui crève, la nuit et se lève
Peut briser tes rêves au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Se jouent du destin s'ils comblent les uns
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Rien n'est plus fragile, rien n'est plus stérile
Qu'un bonheur facile qui nous tend la main
Et souvent fillette qu'a perdu la tête
Pleure sa défaite au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Se jouent du destin s'ils comblent les uns
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Mais pour qui s'enivre de la joie de vivre
Le jour le délivre quand la nuit déteint
Car tout recommence, la vie se dépense
Pour trouver sa chance au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Se jouent du destin s'ils comblent les uns
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Allez, petit matin
Allez, petit matin
Allez, petit matin
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Mais pour qui s'enivre de la joie de vivre
Le jour le délivre quand la nuit déteint
Car tout recommence, la vie se dépense
Pour trouver sa chance au petit matin
Les petits matins, les petits matins
Se jouent du destin s'ils comblent les uns
Ils frappent les autres et la vie est toute autre
Car ils sont incertains, les petits matins
Allez, petit matin
Allez, petit matin
Allez, petit matin
« L'amour c'est comme un jour »
Le soleil brille à pleins feux
Mais je ne vois que tes yeux
La blancheur de ton corps nu
Devant mes mains éperdues
Viens, ne laisse pas s’enfuir
Les matins brodés d’amour
Viens, ne laisse pas mourir
Les printemps, nos plaisirs
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour d’un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va mon amour
Notre été s’en est allé
Et tes yeux m’ont oublié
Te souviens-tu de ces jours
Où nos cœurs parlaient d’amour
Nous n’avons pu retenir
Que des lambeaux de bonheur
S’il n’y a plus d’avenir
Il nous reste un souvenir
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour d’un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va mon amour
Mais je ne vois que tes yeux
La blancheur de ton corps nu
Devant mes mains éperdues
Viens, ne laisse pas s’enfuir
Les matins brodés d’amour
Viens, ne laisse pas mourir
Les printemps, nos plaisirs
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour d’un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va mon amour
Notre été s’en est allé
Et tes yeux m’ont oublié
Te souviens-tu de ces jours
Où nos cœurs parlaient d’amour
Nous n’avons pu retenir
Que des lambeaux de bonheur
S’il n’y a plus d’avenir
Il nous reste un souvenir
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va, ça s’en va l’amour
C’est comme un jour d’un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L’amour c’est comme un jour
Ça s’en va mon amour
Trousse Chemise
Dans le petit bois de Trousse chemise
Quand la mer est grise et qu'on l'est un peu
Dans le petit bois de Trousse chemise
On fait des bêtises, souviens-toi nous deux
On était partis pour Trousse chemise
Guettés par les vieilles derrière leurs volets
On était partis la fleur à l'oreille
Avec deux bouteilles de vrai muscadet
On s'était baigné à Trousse chemise
La plage déserte était à nous deux
On s'était baigné à la découverte
La mer était verte, tu l'étais un peu
On a dans les bois de Trousse chemise
Déjeuné sur l'herbe, mais voilà soudain
Que là, j'ai voulu d'un élan superbe
Quand la mer est grise et qu'on l'est un peu
Dans le petit bois de Trousse chemise
On fait des bêtises, souviens-toi nous deux
On était partis pour Trousse chemise
Guettés par les vieilles derrière leurs volets
On était partis la fleur à l'oreille
Avec deux bouteilles de vrai muscadet
On s'était baigné à Trousse chemise
La plage déserte était à nous deux
On s'était baigné à la découverte
La mer était verte, tu l'étais un peu
On a dans les bois de Trousse chemise
Déjeuné sur l'herbe, mais voilà soudain
Que là, j'ai voulu d'un élan superbe
Conjuguer le verbe aimer son prochain
Et j'ai renversé à Trousse chemise
Malgré tes prières à corps défendant
Et j'ai renversé le vin de nos verres
Ta robe légère et tes dix-sept ans
Quand on est rentré de Trousse chemise
La mer était grise, tu ne l'étais plus
Quand on est rentré la vie t'a reprise
T'as fait ta valise t'es jamais revenue
On coupe le bois à Trousse chemise
Il pleut sur la plage des mortes saisons
On coupe le bois, le bois de la cage
Où mon cœur trop sage était en prison
Et j'ai renversé à Trousse chemise
Malgré tes prières à corps défendant
Et j'ai renversé le vin de nos verres
Ta robe légère et tes dix-sept ans
Quand on est rentré de Trousse chemise
La mer était grise, tu ne l'étais plus
Quand on est rentré la vie t'a reprise
T'as fait ta valise t'es jamais revenue
On coupe le bois à Trousse chemise
Il pleut sur la plage des mortes saisons
On coupe le bois, le bois de la cage
Où mon cœur trop sage était en prison




















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