lundi 18 août 2025

Yves Montand - EP stéréo Philips 432.572 (1961)




                           

1 - 00:00 Quand tu dors près de moi 2 - 02:50 Autant qu'il m'en souvienne 3 - 05:21 Ami lointain 4 - 08:02 Les amants Finalement, voilà ce 45 tours entièrement en stéréo, après la découverte d'un vinyl comportant un mixage stéréo d' " autant qu'il m'en souvienne ". Dommage qu'on n'ai pas cherché les multipistes pour le dernier coffret, Montand mériterait une intégrale détaillée et exhaustive, avec une véritable recherche des masters...


 Quand tu dors près de moi

Quand tu dors près de moi
Tu murmures parfois
Le nom mal oublié
De cet homme que tu aimais

Et tout seul près de toi
Je me souviens tout bas
Toutes ces choses que je crois
Mais que toi, ma chérie, tu ne crois pas

Les gestes étourdissants
Etourdis de la nuit
Les mots émerveillés
Merveilleux de notre amour

Si cet air te rejoint
Si tu l'entends soudain
Je t'en pris, comme moi
Ne dis rien, mais rappelle-toi, chérie



Autant qu'il m'en souvienne
Dans la ville qui leur est offerte
Deux amants vont à la découverte
D’un étrange et nouveau monde
D’un royaume merveilleux
Dont l’amour leur a ouvert les portes
Sur les trottoirs baignés de lumière
Dans le vent, le bruit et la poussière
Sans rien voir, sans rien entendre
Ils vont au hasard des rues
Comme deux enfants sur une île déserte
Ils n’ont besoin de personne au monde
Ni de savoir que la terre est ronde
Pour goûter chaque seconde
Amants heureux, heureux amants
Que la vie un jour leur a offerte

Ami Lointain 

Le cœur d'une ville inconnue
Se livre au hasard des rues
J'étais l'étranger venu là pour un soir
Et soudain j'ai croisé un regard
Ce n'était rien rien qu'un passant
Il m'a sourit sur mon chemin comme un ami
Je ne sais pas pourquoi je garde encore l'image
De ce visage plein de chaleur

Perdu dans la foule tranquille
Je suis resté immobile
Il s'est retourné un instant
Et de loin j'ai pu voir s'agiter une main
Ce n'était rien rien qu'un adieu
Ou un bonjour donné de loin
Là sur mon chemin

Mais tous les mots n'auraient pu m'en dire davantage
Que ce visage plein de chaleur

Ami lointain
Je ne sais rien
Ni de ta ville ni de ton nom
Mais j'ai gardé
Ton souvenir qui chante
Encore dans ma mémoire
Et la chaleur de ton regard


 Les Amants 

Dans la ville qui leur est offerte
Deux amants vont à la découverte
D'un étrange et nouveau monde
D'un royaume merveilleux
Dont l'amour leur a ouvert les portes

Sur les trottoirs baignés de lumière
Dans le vent, le bruit et la poussière
Sans rien voir, sans rien entendre
Ils vont au hasard des rues
Comme deux enfants sur une île déserte

Ils n'ont besoin de personne au monde
Ni de savoir que la terre est ronde
Pour goûter chaque seconde
Amants heureux, heureux amants
Que la vie un jour leur a offerte





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire