samedi 20 février 2016

LA BELLE CHANSON : Gribouille - Le marin et la rose

LA BELLE CHANSON

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                    Gribouille - Le marin et la rose



paroles officielles {Le Marin Et La Rose}

Y avait une fois une rose
Une rose et un marin
Le marin était à Formose
La rose était à Dublin.
Jamais au monde ils n'se virent
Ils étaient beaucoup trop loin
Lui n'quittait pas son navire
Elle quittait pas son jardin.
Au-dessus de la rose sage
Les oiseaux partaient tout le temps
Et puis aussi des nuages
Des soleils et des printemps.
Au-dessus du marin volage
Des rêves étaient tout pareil
Aux oiseaux et aux nuages
Au printemps et au soleil.
Le marin périt en septembre
Et la rose le même jour
Vint se flétrir dans la chambre
D'une fille en mal d'amour
Jamais personne ne suppose
Qu'il y ait le moindre lien
Entre le marin de Formose
Et la rose de Dublin
Et seul un doigt sur la bouche
Un ange beau comme un éclair
Jette quand le soleil se couche
Des pétales sur la mer.


En savoir plus sur :http://www.paroles-musique.com/paroles-Colette_Renard-Le_Marin_Et_La_Rose



Gribouille

Elle commence à se produire très jeune à Lyon, à seize ans, avant de monter à Paris où elle vit de dessins à la craie, sur le trottoir. Une présentatrice de télévision la prend sous son aile, elle chante au Bœuf sur le toit et dans plusieurs autres cabarets. On la compare à Barbara. Jean Cocteau la repère et fait son portrait.

Elle enregistre des chansons de Michel Breuzard, puis, collaborant avec des compositeurs comme Charles Dumont, Gérard Bourgeois, Jacques Debronckart, Georges Chelon, elle écrit dans les années 1960 ses textes les plus connus : Mathias, Grenoble, Elle t'attend, On n'a pas le droit, Ostende. Son apparence androgyne et sa voix grave ainsi que ses chansons personnelles et ambiguës lui gagnent le public lesbien.

En 1966, elle chante à Bobino en première partie de François Deguelt. En 1968, celle qui chantait Mourir demain décède d'un excès de barbituriques et d'alcool.

BIOGRAFÍA EN ESPAÑOL

Gribouille (Marie France Gaite nació el 17 de julio de 1941 en el seno de una familia burguesa de Lyon, la pequeña muy sensible llevaba dentro la pasión de cantar y poder vivir sin una autoridad que contrariara ese deseo. Sus padres no pudieron lidiar con su naturaleza difícil y después de sus estudios completamente caóticos, Marie France fue llevada a un centro de observación de donde ella guardará un excelente recuerdo, un lugar en donde los educadores se dieron cuenta de que la adolescente tenía capacidades extraordinarias para la canción, ahí mismo es en donde le dan el sobrenombre de "Gribouille" (Garabato), más tarde ella fue llevada hacia otros centros de observación psiquiátrica en donde vivió su adolescencia de una manera traumática, en muchas de sus canciones se puede observar ese enorme sentimiento de abandono, inseguridad y la compleja relación entre ella y su familia.

Ella comenzó a actuar en Lyon muy joven, a los dieciséis años, antes de partir a París en una carroza fúnebre, en donde vive de dibujar paisajes y retratos con tiza en la acera y otros diversos trabajos entre ellos uno de bibliotecaria para ayudarse a pagar sus clases de canto. Una presentadora de televisión la toma bajo su protección y consigue entrar en el “Boeuf sur le Toit” y varios otros cabarets de gran importancia, la comparan con Bárbara, algunos la llaman un “Jacques Brel en femenino”. Jean Cocteau la admira y dibuja su retrato, Su aspecto andrógino y su profunda voz así como sus canciones personales y ambiguas le ganan apoyo del público lésbico-gay.

Grabó sus canciones en colaboración con grandes compositores de la canción francesa como Michel Breuzard, Charles Dumont (Compositor de Edith Piaf), Gerard Bourgeois, Jacques Debronckart George Chelon y Jean Claude Annoux. Durante los años sesenta escribe sus textos más conocidos: Mathias, Grenoble, Elle t'attend, On n'a pas le droit, Ostende, Mourir demain, Les rondes. 

En 1966 ella canta en el prestigioso Music Hall “Bobino” actuando en primera parte abriendo el concierto de François Deguelt, en 1967 firma contrato con la discográfica AZ, una de las disqueras más grandes y poderosas de su época, muere en pleno ascenso de su carrera el 18 de enero de 1968 de una sobredosis de barbitúricos y alcohol, tenía 26 años.



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